Droit immobilier

Obligation de délivrance d'un logement conforme

ANNULATION DE LA VENTE POUR CAUSE DE DEFAUT D’INFORMATION SUR LE MAUVAIS ETAT DE LA STRUCTURE DE L’IMMEUBLE VENDU

L’absence d’information de M. X par Mme Y du risque pesant sur la structure de l’immeuble et d’une augmentation prévisible du budget de travaux alors qu’en sa qualité d’architecte elle ne pouvait ignorer l’importance de cette information constitue un dol par réticence dès lors qu’il

Exclusion de la garantie des vices cachés

VENTE EN L’ETAT FUTUR D’ACHEVEMENT (VEFA) : EXCLUSION DE LA GARANTIE DES VICES CACHES

Quand bien même les fissures et infiltrations sont susceptibles d'être qualifiées de de vices cachés, la preuve n'étant pas rapportée par le vendeur du caractère apparent des vices et la découverte des vices étant datée lors des premières pluies postérieurement à la vente, l'existence d'une

Garantie décennale de panneaux photovoltaïques

GARANTIE DECENNALE : PANNEAUX PHOTOVOLTAÏQUES GARANTIS S’ILS SONT INTEGRES A LA TOITURE

L'ouvrage est rendu impropre à sa destination dans la mesure où les panneaux sont affectés de désordres constitutifs d'infiltrations importantes d'eau. Les panneaux étant inaptes à assurer leur fonction de clôt et de couvert et les désordres étant postérieurs à la réception des travaux, l'installateur

Acquisition par usucapion d'un garage

LE CARACTERE INESTHETIQUE DU MUR NE PEUT A LUI SEUL JUSTIFIER L’EXISTENCE D’UN TROUBLE ANORMAL DE VOISINAGE

L’existence d’une aggravation de cette servitude naturelle d’écoulement des eaux ne ressort d’aucune pièce, ni davantage que l’accès la propriété X serait impraticable en cas de pluie. L’huissier de justice a uniquement constaté des projections de béton présentes sur la façade Ouest de la bâtisse

COPROPRIETE : Captation d'images

PARTIES COMMUNES OU PRIVATIVES DE COPROPRIETE : DISTINCTION IMPORTANTE POUR INTENTER UNE ACTION

La cour d’appel de Dijon relève que, si les travaux litigieux touchent au mur de façade et à la toiture, définis comme des parties communes, il ressort du règlement de copropriété que tel n’est pas le cas des fenêtres et lucarnes éclairant des parties divises