LIBERTE INDIVIDUELLE DU SALARIE ET VIDEO-SURVEILLANCE
La cour d’appel de Paris constate que le salarié, licencié pour faute grave que l’employeur offrait de prouver au moyen d’images obtenues par un dispositif de vidéo-surveillance, était soumis à la surveillance constante de la caméra installée dans la cuisine où il exerçait seul son