DES LORS QU’IL N’Y A QU’UNE SOUCHE, C’EST LE CAS DE L’ENFANT UNIQUE, IL NE PEUT Y AVOIR PARTAGE PAR SOUCHE
Il se déduit de ces textes qu’ il n’y a pas lieu de recourir au cas de l’espèce, à la fiction de la représentation pour écarter la succession par tête d’héritiers du même degré, ici les 4 petites-filles de Mme A et ces petits-enfants viennent