mars 2019

CONTRAT DE RESERVATION : Le contrat de réservation étant facultatif, sa nullité est sans incidence sur la validité de l’acte de vente (Cour de cassation, Chambre civile 3, 21 mars 2019, pourvoi N° 18-11.707, rejet, publié au Bull.)

Par acte sous signature privée, intitulé "contrat de réservation", suivi d'un acte authentique de vente en l'état futur d'achèvement, la société civile de construction vente Amandine (la société Amandine), a vendu à Mme Y, préalablement démarchée par la société Jade conseil, un appartement et un

Interruption de la garantie de parfait achèvement

CONTRAT DE RESERVATION : Le contrat de réservation étant facultatif, sa nullité est sans incidence sur la validité de l’acte de vente (Cour de cassation, Chambre civile 3, 21 mars 2019, pourvoi N° 18-11.707, rejet, publié au Bull.)

Par acte sous signature privée, intitulé "contrat de réservation", suivi d'un acte authentique de vente en l'état futur d'achèvement, la société civile de construction vente Amandine (la société Amandine), a vendu à Mme Y, préalablement démarchée par la société Jade conseil, un appartement et un

SCI : Le gérant de la SCI avait le pouvoir d’engager la SCI dans un bail rural (Cour d’appel de Caen, Chambre civile et commerciale 2, 21 mars 2019, RG N° 18/00420)

Par acte authentique du 30 novembre 2012 la SCI CDMO a donné à bail rural à l'EARL O. diverses parcelles de terre situées à Colombelles, Démouville, Escoville et Cuverville. Par requête en date du 26 juin 2017 la SCI CDMO a saisi le Tribunal paritaire des baux ruraux de Caen

SCI : Le gérant de la SCI avait le pouvoir d’engager la SCI dans un bail rural (Cour d’appel de Caen, Chambre civile et commerciale 2, 21 mars 2019, RG N° 18/00420)

Par acte authentique du 30 novembre 2012 la SCI CDMO a donné à bail rural à l'EARL O. diverses parcelles de terre situées à Colombelles, Démouville, Escoville et Cuverville. Par requête en date du 26 juin 2017 la SCI CDMO a saisi le Tribunal paritaire des baux ruraux de Caen

VICE CACHE : L’insuffisante rentabilité d’un immeuble ne constitue pas un vice caché (Cass. 3e civ. 21 mars 2019 n°18-12.026 F-D)

La vente d’immeuble à usage locatif n’est pas affectée d’un vice caché au seul motif que l’acheteur n’en a pas retiré le profit escompté. Pour réaliser un investissement locatif, une société civile immobilière acquiert deux immeubles auprès de deux autres sociétés civiles immobilières. La société acheteur

VICES CACHES : Application d’une clause exonératoire de vices cachés en cas d’erreur du diagnostiqueur immobilier (Cass. 3e civ. 21 mars 2019 n°18-11.826 F-D)

En l’absence de preuve de la mauvaise foi du vendeur d’un immeuble, la délivrance d’un diagnostic erroné établi par un professionnel n’écarte pas la clause exonératoire des vices cachés mentionnée à l’acte de vente. L’acheteur d’un immeuble découvre la présence de termites alors que le diagnostic